Bombardés outrageusement par le régime de Damas et son allié russe, les rebelles de la Province de Deraa ont accepté de négocier.
Une politique de la terre brûlée
« Il s’agit de la nuit la plus dure et la plus violente depuis le début de l’offensive barbare du régime syrien et des forces d’occupation russes », a tweeté de son côté le militant syrien, Omar Al-Hairiri, horrifié. Une offensive, qui rappelons-le, a coûté la vie à près de 200 civils depuis le 19 juin, date du lancement des hostilités.
Pour rappel, la Province de Deraa fait pourtant partie d’une des quatre zones de désescalade instaurées en Syrie depuis juillet 2017 et un cessez-le-feu négocié par la Russie, les Etats-Unis et la Jordanie.
