En Syrie, l’Occident souffle sur les braises d’une crise qu’il prétend combattre. Il endosse respectivement les rôles du pyromane et du pompier. Un brin « complotiste » comme expression. Mais aujourd’hui, la présence des forces spéciales américaines, britanniques et françaises à l’est de l’Euphrate, le soutien officiel aux « modérés » d’Idlib, et maintenant les sanctions, viennent corroborer un peu
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