Pour se figurer la violence des explosions qui ont conduit à la destruction du port de Beyrouth et d’une grand partie de la capitale libanaise, le 4 août dernier, il suffit de penser à cette image classique, mais tellement saisissante, d’une flamme se frayant un chemin le long d’une mèche qui la mène, lentement et inexorablement, vers une pile de bidons
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