Décembre 2010. La Tunisie s'embrase, bientôt suivie par la Jordanie, l'Egypte, le Yémen, la Syrie ou encore la Libye. Au cours de ces révoltes populaires, auxquelles on donnera le nom de « Printemps arabes », les réseaux sociaux jouent, pour la première fois, un rôle prépondérant. Facebook et les applications de messagerie instantanée deviennent alors synonymes de libération des peuples opprimés par
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