Début 2019, à Paris, Uğur Ümit Üngör, chercheur au NIOD Institute of War, Holocaust & Genocides Studies de l’université d’Amsterdam, participe à une conférence universitaire lorsqu’un activiste syrien résidant dans la capitale française demande à le rencontrer discrètement. Quelques heures plus tard, le professeur se retrouve en possession de 27 vidéos uniques et inédites. Elles viennent d’arriver de Syrie, exfiltrées
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