Si Salim Jreissati, Ministre d’Etat libanais pour les Affaires de la présidence, nie toute implication du pays dans la fuite de Carlos Ghosn depuis le Japon, celle-ci remet sur la table un sujet d’envergure majeure pour les citoyens libanais, celui de la corruption dans laquelle semblent baigner bien des sphères de pouvoir au pays du cèdre et par-delà ses frontières. ...